Sosas 2024 & 2025

Sont-ils connus ?

Ce sera l’objet de ma prochaine recherche de fin d’année.

🎅🏼🎄

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Qu’est-il devenu après cela ?

Le Progrès de la Côte-d’Or du 13 juillet 1939

https://www.retronews.fr/journal/le-progres-de-la-cote-d-or/13-juillet-1939/823/2450173/5

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Les mariés de l’empereur

Source : http://www.votre-genealogie.com n° 77 de février mars avril 2017 – pages 48 & 49Auteure : Sabine ROELANDT

A l’occasion de son mariage avec Marie-Louise d’Autriche en 1810, Napoléon 1er décide de doter des jeunes filles de tous les cantons de France par leur mariage avec des militaires en retraite.

En échappant de justesse à un attentat, le 12 octobre 1809, devant le château de Schönbrunn, Napoléon 1er ressent le besoin d’avoir un fils. Son épouse Joséphine ne pouvant lui en donner, il fait prononcer le sentais-consulte du 16 décembre 1809 sur la dissolution de son mariage civil en invoquant le motif du consentement mutuel, introduit dans le code civil en 1804. Quelques jours plus tard, la nullité du mariage religieux est conclue et est confirmée par l’officialité métropolitaine le 11 janvier.Le choix de la fiancée pour lui donner un héritier s’arrête sur l’archiduchesse Marie-Louise, la fille de l’empereur d’Autriche, que Napoléon 1er venait de battre et la petite-nièce de Marie-Antoinette.Les préparatifs du mariage sont expédiés en quelques jours. Le 11 mars 1810, un mariage religieux est d’abord conclu par procuration, dans l’église des Augustins à Vienne. Le 1er avril, le mariage civil est célébré au Palais de Saint-Cloud dans la Grande Galerie en présence de la Cour et de la famille impériale. Le lendemain, se déroule la bénédiction nuptiale, dans le Salon carré du Louvre transformé pour l’occasion en chapelle par l’architecte Pierre-François-Léonard FONTAINE, dispensée par l’oncle de l’empereur, le cardinal FESCH.Mais l’opinion publique désapprouve cette alliance et cette « Autrichienne » qui évoque la Révolution. Aussi, l’empereur décide de marquer l’événement de son mariage dans tout le pays par des actes de bienfaisance et d’indulgence. Il prend en effet un décret en date du 25 mars 1810 dans lequel sont inscrits ceux-ci.

CONTENU DU DÉCRET DU 25 MARS 1810
Parmi les actes de bienfaisance et d’indulgence, Napoléon décide la mise en liberté des individus condamnés correctionnelle ment qui ne sont plus détenus que pour le paiement de l’amende et des frais ; la possibilité d’élargissement pour les individus emprisonnés pour dette fiscale, la suppression des dettes envers le bureau des nourrices de la ville de Paris et du département de la Seine depuis le 9 octobre 1799 jusqu’au premier trimestre de l’année 1810 ainsi qu’une large amnistie en faveur des déserteurs.Il décrète également dans le Titre IV du décret intitulé « Du Mariage de six mille Militaires », que six mille soldats en retraite des campagnes révolutionnaires ou napoléoniennes « ayant fait au moins une campagne seront mariés le 22 avril de la même année avec des filles de leurs communes, auxquelles il sera accordé une dot de douze cents francs pour Paris, et de six cents francs dans le reste de l’Empire ». Ces mariés seront appelés les « Mariés de l’empereur ».

LE CHOIX DES MARIÉS
Selon l’importance de la ville, les mariés étaient choisis par délibération du conseil général faisant fonction de conseil municipal (pour Paris), du conseil municipal approuvé par préfet (pour les villes chefs-lieux de département) ou sous-préfet (pour les villes qui ne sont pas chefs-lieux de département) par une commission composée de deux maires et deux curés désignés par le sous-préfet et le juge de paix(pour les justices de paix).Les communes qui ne sont  pas comprises dans les articles cités dans le décret, pouvaient, sur la délibération du conseil municipal, approuvée par le sous-préfet, marier un militaire et une fille de la commune, en se conformant, pour le choix et pour la quotité de la dot, aux dispositions prises dans le décret.

LE CHOIX DE L’ÉPOUX
La commission établit une liste des militaires qui ont mené au moins une campagne et ont eu un comportement irréprochable. Elle vérifie les droits, pièces de service, congé de retraite, appartenance à la commune. Les militaires qui ont eu des états de services brillants et ceux qui ont été blessés au combat étaient privilégiés.

LE CHOIX DE L’ÉPOUSE
La commission établit une liste de filles non mariées, préférablement, mais non nécessairement, d’anciennes noblesses, orphelines ou jouissantes d’une rente de plus de 50.000 francs, et surtout de la « meilleure réputation ».

LES NOCES 
Afin que la nation toute entière adhère à cette harmonie, mais aussi à son régime, l’empereur a mis en place une juste répartition des mariages dans l’ensemble du territoire de l’Empire français en fonction de la population. Comme le nombre était limité à six mille, des quotas géographiques ont été établis, ainsi : soixante mariages sont prévus pour Paris, six dans chacune des 51 plus grandes villes de l’emirs, soit 510 mariages ; 5 dans chacune des cinquante-quatre suivantes soit 270 mariages et 2 dans chacune des cinq cent cinquante villes de population plus réduite soit 1110 mariages. Enfin, chacune des 3832 justices de paix doit désigner un couple. S’y ajoutent les mariages prévus au sein d’autres communes par l’alinéa 7 du décret.Les cérémonies sont prévues pour le dimanche 22 avril 1810 ou dans les jours qui suivent. Dans la réalité, elles ont parfois eu lieu dans certaines communes jusqu’à plusieurs semaines plus tard foire pour certaines plusieurs mois plus tard. En cause, les lenteurs de communication et les difficultés d’organisation.

BASE DE DONNÉES NAPOLÉON-MARIAGES
Philippe BEAUVILLIER passionné d’histoire et généalogie a décidé de répertorier les mariages liés au décret du 25 mars 1810 sur toute la France dans une base de données. Elle est mise gratuitement à disposition en ligne sur internet sur le site de FranceGenWeb qui est géré par des bénévoles. La base n’est pas exhaustive elle comporte à ce jour 1800 mariages soit un peu plus de 30% des mariages qui ont été célébrés. Reste donc 4200 mariages à trouver. Pour rechercher un mariage dans la base, il suffit d’indiquer dans le moteur de recherche un patronyme ou un lieu. Selon le nombre de résultats trouvé, vous pouvez limiter la recherche géographique en cliquant sur le département voulu (grâce à une carte ou un menu déroulant). S’ouvre alors une liste de tous les mariages relevés pour celui-ci. En cliquant sur le nom qui vous intéresse, une fiche s’ouvre avec tous les renseignements recueillis.Sur le site est également disponible la liste de toutes le villes choisies.Base de données Napoléon-Mariages : www.francegenweb.org/napmargenweb/accueil.php

ndlr
Deux mariages trouvés lors de mes recherches généalogiques :
– le 23/04/1810 à Audun-le-Roman (54), mariage de Jean Baptiste PERBAL et de Anne Thérèse MESSIN
– le 29/04/1810 à Longuyon (54), mariage de Charles GROSJEAN et de Catherine DESAGA

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Il y a 150 ans, pourquoi 1870

Voici quelques épisodes audios qui expliquent et racontent 1870 (Source : podcast « Les Grandes Histoires de l’Est »)

Guerre de 1870 : un développement économique stoppé net (1/5)

A la veille de la guerre de 1870, la Lorraine et la Franche-Comté sont des terres rurales. La révolution industrielle est toutefois en marche : métallurgie, verrerie ou horlogerie se développent alors que, politiquement, Napoléon III mène une politique étrangère visant à faire rayonner la France, notamment en étendant son territoire. C’est cet appétit ainsi que la stratégie de Bismarck le Prussien qui vont pousser la France à la guerre le 19 juillet 1870.

Les Grandes Histoires de l’Est est un podcast Est Républicain / Républicain Lorrain / Vosges Matin raconté par Grégory Barbier. Cette deuxième saison de cinq épisodes raconte la guerre de 1870 et ses nombreuses conséquences sur la Lorraine et la Franche-Comté.

Guerre de 1870 : un développement économique stoppé net

Guerre de 1870 : ça tombe comme à Gravelotte

Gravelotte, petit village mosellan, a donné son nom à une célèbre expression. Mais pourquoi dit-on « Ca tombe comme à Gravelotte » dès qu’il pleut ? C’est en fait un souvenir populaire laissé par la guerre de 1870 dans la région.

La bataille de Gravelotte et les hésitations de Bazaine sont rentrées dans l’histoire, de même que le repli de ce dernier dans la citadelle de Metz. Un épisode douloureux pour la France dans une Moselle qui va vite devenir allemande.

Guerre de 1870 : ça tombe comme à Gravelotte

Guerre de 1870 : un lion à Belfort

Le lion de Belfort est un hommage aux combattants de la guerre de 1870. Dans la cité fortifiée, Denfert-Rochereau, ses troupes et la population ont résisté à l’envahisseur prussien pendant plus de trois mois. Ils ont attendu en vain l’armée de Bourbaki qui avait pourtant vaincu à Villersexel en Haute-Saône mais sera défaite à Montbéliard.

Denfert-Rochereau, par sa résistance a sauvé l’honneur de la France, ce qui vaudra à Belfort de rester française. Cela valait bien une statue et pas n’importe laquelle. Bartholdi, futur constructeur de la Statue de la Liberté, va construire une oeuvre monumentale toujours majestueuse aujourd’hui.

Guerre de 1870 : un lion à Belfort

Guerre de 1870 : nouvelles frontières

Après la fin des combats en 1871, place aux négociations pour un traité de paix. D’un côté Thiers, de l’autre Bismarck. Et pour le Français, pas question de céder à la fois Metz et Belfort. Question d’honneur mais aussi de stratégie militaire. C’est le début d’un grand marchandage où des territoires mosellans seront échangés contre des communes autour de Belfort. Une conséquence : le redécoupage des départements lorrains et la création d’une nouvelle entité, la Meurthe-et-Moselle.

Guerre de 1870 : nouvelles frontières

Guerre de 1870 : rester ou partir

Après l’instauration des nouvelles frontières qui morcellent la Lorraine et détachent Belfort du reste de l’Alsace, on s’interroge dans les territoires annexés : partir vers la France ou rester dans l’empire germanique. Côté français, Nancy tire son épingle du jeu en devenant le lieu de regroupement de multiples influences. Une période faste pour celle qui reste la seule grande ville de Lorraine. Des industries et des artistes viendront s’installer dans cette ville qui se développe.

Belfort aussi s’étend, notamment avec l’arrivée d’entreprises alsaciennes qui veulent garder un pied en France. Parmi elles, la SACM, future Alsthom (puis Alstom).

Ceux qui ont choisi de rester côté allemand hésitent entre résignation et résistance. Parallèlement, l’Empire veut faire de ces territoires annexés une sorte de vitrine de sa puissance, à l’image de Metz et sa nouvelle architecture.C’est aussi à cette époque que naît le fameux « droit local » de l’Alsace-Moselle.

Guerre de 1870 : rester ou partir

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Ma carte des "Morts pour la France"

Mon défi du mois de février 2021, mettre en ligne une carte situant les lieux de décès des \ »Morts pour la France\ » contenus dans ma base généalogique.

Ce projet fait suite à la mise en ligne de quelques vidéos sur youtube par Geneatech.

La première : \ »Heredis – Exporter une liste d\’individus avec géolocalisation\ » publiée le 27 juin 2020 par Jimbo – D\’arvenne et d\’Armorique 

La deuxième : \ »Umap – Créer une carte sur l\’application Umap à partir de données géolocalisées\ » toujours publiée par Jimbo

Le résultat, une jolie CARTE 

 

 

 


En cliquant sur les points rouges vous obtiendrez les noms des soldats, et quelques détails qui expliquent leurs liens avec moi, ou pas.

 

Pour compléter les recherches, on n’oubliera pas de consulter les Livres d’Or disponibles sur le site des Archives Nationales.
Pour exemple, l’inventaire du département de la Manche

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Mes sosas 2020 & 2021

Lui, Anthoine THIRIOT
Elle, Anne OBELIANNE (AUBELLIANNE)

Ils se sont mariés le 27 novembre 1655 dans la paroisse Saint-Livier à Metz (57)

Archives Municipales de Metz – Cote :  GG74_047/362
https://archives.metz.fr/4DCGI/WEB_RegistreVisuImgAppelExterne/60048_GG74/ILUMP9999

Anne OBELIANNE (sosa n° 2021) décède à Argancy (57) le 15 octobre 1711
Anthoine THIRIOT (sosa n° 2020) décède à Argancy (57) le 26 novembre 1712

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Citation du jour

« Être heureux ne signifie pas que tout est parfait. Cela signifie que vous avez décidé de regarder au-delà des imperfections. »
Aristote

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Me voila de retour …

Me voila de retour sur ce blog, débuté il y a maintenant plus de 10 ans, et muet depuis longtemps. Un petit point sur les recherches généalogiques s’impose (à venir dans la journée).

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Il y a 89 ans aujourd\’hui …

 

Mon arrière-grand-père maternel

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Plan Géométral ..

 

Plan géométral de deux cantons de bois taillis dépendants de la seigneurie de Layé appartenant à Madame la Comtesse de Saulon exploittés les années dernières par le sieur Denis Mongin marchand à Geuvrey fermier général du comté de Saulon mesurés le dix huict du présent mois de janvier en présences dudit sieur Mongin du sieur Jacques Tiffet concierge du château de Saulon, de François Rousseau garde des dits bois et Claude Royer dudit Layé. Par moi Bernard Gambu arpenteur juré du Roy au siège de la maitrise des eaux et forêts de Dijon y résidant soussigné sur les réquisitions dudit sieur Mongin. Lesquels cantons de bois après la suputation faitte se sont trouvés contenir en superficie la quantité de 

Savoir
Celuy cotté A apellé La Garenne celle de cinq arpents1 royaux trente une perches2 faisants sept journaux3 trois quarts et un seisième
de journal
et celuy cotté B apellé Le Bois du Chateau celle de dix neuf arpents royaux trois perches faisants vingt huict journaux et un tier de journal
Fait à Dijon ce vingt janvier mil sept cent quarrente six

  1. Arpent des eaux et forêts, soit 48.400 pieds carrés, soit 5.104 m2 ↩︎
  2. Perche des Eaux et forêts carrée, soit 484 pieds carrés (22 pieds de côté), soit 51,04 m2 ↩︎
  3. Le journal était l’unité de superficie la plus utilisée sous l’Ancien Régime. Il s’agissait de la quantité de terre qu’une charrue pouvait labourer, ou qu’un homme pouvait travailler, ou la quantité de pré qu’il pouvait faucher, etc…. en une journée. Le journal de Paris valait 32,86 ares, soit 3.286 m2. Le journal de Bordeaux valait 31,93 ares, soit 3.193 m2. ↩︎
Situation actuelle probable 

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